Mon chemin de vie, comme beaucoup de personnes, n’a pas toujours été parsemé que de joie et d’insouciance.
Je me sens aujourd’hui beaucoup plus sereine et équilibrée, mais ce n’est pas sans avoir percuté maints obstacles, tempêtes et drames sur ma route.
C’est tout ce vécu qui fait qu’aujourd’hui je suis là, bien présente à vos côtés, que je me sens animée par cette force et cette volonté profonde de vous accompagner, vous soulager, vous apaiser.
Petit retour en arrière pour comprendre celle que je suis suis aujourd’hui…
En 1995, l’année de mes 13 ans, suite à la séparation de mes parents, je suis rapidement passée de la pré-adolescence à l’âge adulte en devant faire face à la dépression profonde de ma mère ainsi qu’à ses tentatives de suicide répétées, et cela jusqu’à ma vingtième année.
Aujourd’hui, elle va mieux, et lorsque je regarde en arrière, je me dis que cette expérience difficile m’a permise d’aiguiser mon sens de la perception, de la compréhension et de développer mon empathie.
Grandir avec un nuage gris au-dessus de la tête, ce n’est pas simple, mais ça m’a aussi toujours poussée à chercher le soleil !
En 2009, à 27 ans, la vie me reprend ce que j’ai de plus cher, mon premier enfant, mon bébé, alors qu’il n’a que 5 jours.
Après le déni, la colère immense, la culpabilité, la tristesse incommensurable, je choisis que son départ ne soit pas vain et qu’il devienne une force, mon soleil intérieur.
Pour cela je me suis faite aider, parce que je sentais bien que pour sortir de la caverne où je m’étais terrée et avancer à nouveau, j’avais besoin que l’on guide mes pas.
Aujourd’hui, en plus de ce petit ange protecteur (que nous avions par ailleurs appelé Gabriel…), j’ai deux merveilleux enfants, et je peux parler de lui sans pleurer.
Je partage mon histoire avec un sentiment de paix et d’acceptation, afin que le deuil périnatal ne soit plus tabou, que les parents (par’anges) soient reconnus en tant que tels et que ces bébés partis trop vite ne soient pas oubliés.
En 2018, alors que j’ai 37 ans, la maladie touche mon père et en quelques mois, la vie me prive de lui, alors que j’avais encore tant à lui dire, tant à l’aimer.
Je ne comprends pas, je ne veux pas, je n’accepte pas !
Nos parents semblent toujours éternels à nos cœurs et perdre l’un deux, c’est perdre ses repères et ses fondations…
Il laisse un vide immense et un grand trouble en moi. Je me sens toute petite, je me sens perdue.
Je repense alors à cet homme passionné qu’était mon père, à son parcours, à ses choix et là encore, je décide que sa mort ne soit pas vaine, qu’elle soit un déclencheur dans ma vie qui continue, et je choisis le renouveau et un changement de vie professionnelle.
La perte d’un proche nous offre souvent un autre regard sur l’avenir, nous ouvre des portes auxquelles on aurait sûrement jamais osé toquer dans d’autres circonstances.
Je prends conscience que mon emploi de salariée ne me convient plus. Il ne m’offre plus cette joie matinale ni ce but quotidien.
Je me recentre, je m’écoute, je me fais confiance : je veux devenir Réflexologue et me servir de cette force et de cette lumière pour prendre soin des autres.
Ces expériences ont fait de moi quelqu’un qui capte très vite les émotions, les ressentis, les douleurs des personnes que j’ai en face de moi et qui n’a qu’une envie :
▶ Apporter de la douceur là où la vie a laissé de l’amertume.
▶ Redonner de la confiance là où le désespoir s’est installé.
▶ Apaiser les blessures émotionnelles qui engendrent souvent des tensions douloureuses dans le corps.
▶ Calmer le mental et son agitation continue
▶ Accompagner les deuils, quels qu’ils soient.
Il y a mille outils pour cela, moi j’ai choisi la Réflexologie Combinée, pour sa douceur, son efficacité et la sensation d’enveloppement physique et émotionnel qu’elle procure.
Et dès septembre 2024, je vous propose un nouvel accompagnement pour plus de légereté physique et émotionnelle, parce que cela me tient à coeur, me parle et m’anime : Digitopuncture et Cure alimentaire.